Après mon billet sur la symphonie interprétée par une imprimante, voici un classique de Queen interprété par un Atari 800XL, un Texas Instruments TI-99/4a, un disque dur et un HP ScanJet 3C.
Je ne saurais dire à quel point le son est authentique, mais bon; au pire, ça risque de vous faire sourire!
Sunday, April 26
Saturday, April 25
Le circuit...
Sunday, April 19
Saturday, April 18
Monday, April 13
Première sortie
Wednesday, April 8
Le «vélosympathisme» passe à la vitesse supérieure
Certaines entreprises ont compris. À quand une ultime prise de conscience collective nord-américaine? Au niveau des grands changements sociaux, nous sommes toujours à la remorque des Européens.
------
MATHIAS MARCHAL, MÉTRO
Selon les statistiques, 14 % des Montréalais utilisent le vélo comme mode de transport principal. Pas étonnant lorsqu’on sait qu’en milieu urbain et sur une distance de 8 km, le vélo est plus rapide qu’une auto.
Beaucoup d’entreprises s’adaptent d’ailleurs à cette clientèle en expansion en lui fournissant supports à vélos protégés, casiers, douches et parfois même une aide financière pour l’achat d’un vélo ou d’accessoires. Bienvenue dans le monde des entreprises «vélosympathiques».
Dans le bâtiment CDP-Capital, comme dans les quatre autres grands édifices que gère la SITQ à Montréal, les cyclistes sont choyés. Dans le garage, on trouve 75 stationnements surveillés par caméra, une cinquantaine de casiers, des douches et une station de gonflage. À la guérite, on peut emprunter une trousse à outils. De mai à novembre, sept vélos sont aussi mis à la disposition des employés de l’édifice grâce à l’organisme Voyagez futé.
Aide financière
«On note régulièrement une augmentation du nombre de cyclistes au travail, note Sylvain Houde, coordonnateur environnement à la SITQ. Chaque été, les stationnements à vélo sont pleins, et on doit régulièrement en ajouter.» Vélo Québec a d’ailleurs décerné, en 2007, un prix à l’entreprise pour souligner ses efforts dans le domaine.
Mais comment convaincre les employés qui hésitent encore? «Les douches, les casiers et les stationnements intérieurs font la différence», indique Marie-Claude Lamothe, d’Avid-Canada. Quand elle travaillait à Montréal, cette responsable des ressources humaines a participé à l’implantation d’un programme vélo-boulot qui a convaincu 20 % des employés. L’entreprise rembourse aussi à ses employés-cyclistes jusqu’à 200 $ par an pour l’achat d’équipement.
«En utilisant son vélo, on fait plus d’exercice, on arrive plus relaxe au travail et on est plus productif. Ça devrait convaincre les employeurs de prendre des mesures pour les cyclistes, d’autant plus qu’elles sont généralement peu onéreuses», conclut-elle.
------
MATHIAS MARCHAL, MÉTRO
Selon les statistiques, 14 % des Montréalais utilisent le vélo comme mode de transport principal. Pas étonnant lorsqu’on sait qu’en milieu urbain et sur une distance de 8 km, le vélo est plus rapide qu’une auto.
Beaucoup d’entreprises s’adaptent d’ailleurs à cette clientèle en expansion en lui fournissant supports à vélos protégés, casiers, douches et parfois même une aide financière pour l’achat d’un vélo ou d’accessoires. Bienvenue dans le monde des entreprises «vélosympathiques».
Dans le bâtiment CDP-Capital, comme dans les quatre autres grands édifices que gère la SITQ à Montréal, les cyclistes sont choyés. Dans le garage, on trouve 75 stationnements surveillés par caméra, une cinquantaine de casiers, des douches et une station de gonflage. À la guérite, on peut emprunter une trousse à outils. De mai à novembre, sept vélos sont aussi mis à la disposition des employés de l’édifice grâce à l’organisme Voyagez futé.
Aide financière
«On note régulièrement une augmentation du nombre de cyclistes au travail, note Sylvain Houde, coordonnateur environnement à la SITQ. Chaque été, les stationnements à vélo sont pleins, et on doit régulièrement en ajouter.» Vélo Québec a d’ailleurs décerné, en 2007, un prix à l’entreprise pour souligner ses efforts dans le domaine.
Mais comment convaincre les employés qui hésitent encore? «Les douches, les casiers et les stationnements intérieurs font la différence», indique Marie-Claude Lamothe, d’Avid-Canada. Quand elle travaillait à Montréal, cette responsable des ressources humaines a participé à l’implantation d’un programme vélo-boulot qui a convaincu 20 % des employés. L’entreprise rembourse aussi à ses employés-cyclistes jusqu’à 200 $ par an pour l’achat d’équipement.
«En utilisant son vélo, on fait plus d’exercice, on arrive plus relaxe au travail et on est plus productif. Ça devrait convaincre les employeurs de prendre des mesures pour les cyclistes, d’autant plus qu’elles sont généralement peu onéreuses», conclut-elle.
Friday, April 3
La navigation personnelle au travail augmente la productivité
tiré de Branchez-Vous
Une étude récemment réalisée par l'Université de Melbourne indique que la navigation Internet personnelle au travail pourrait améliorer la productivité.
En effet, 9% des travailleurs qui utilisent Internet au travail pour des raisons personnelles sont plus productifs que leurs collègues qui s'en tiennent à la navigation professionnelle.
«Les gens ont besoin de se changer les idées pour pouvoir se concentrer sur leur travail,» expliquait Brent Coker, enseignant en Marketing de l'Université de Melbourne.
Les chercheurs ont identifié comme activité de navigation personnelle la recherche d'informations sur des produits, la lecture de nouvelles, le jeu en ligne, le réseautage social et le visionnement de vidéos en ligne.
Une autre étude, réalisée en 2007, révélait que le travailleur américain moyen consacrait 20% de son temps à la navigation personnelle. En 2007, selon l'Ordre des CHRA et CRIA, 37% des Québécois utilisaient Internet à des fins personnelles au bureau.
L'année dernière, un employé de la Ville de Beloeil a été congédié parce qu'il utilisait excessivement son accès Internet professionnel à des fins personnelles. En 2007, la Ville de Québec a pris des mesures contre une quinzaine de ses employés pour des reproches similaires.
Plus de détails sur l'étude de l'Université de Melbourne sont disponibles en ligne
Une étude récemment réalisée par l'Université de Melbourne indique que la navigation Internet personnelle au travail pourrait améliorer la productivité.
En effet, 9% des travailleurs qui utilisent Internet au travail pour des raisons personnelles sont plus productifs que leurs collègues qui s'en tiennent à la navigation professionnelle.
«Les gens ont besoin de se changer les idées pour pouvoir se concentrer sur leur travail,» expliquait Brent Coker, enseignant en Marketing de l'Université de Melbourne.
Les chercheurs ont identifié comme activité de navigation personnelle la recherche d'informations sur des produits, la lecture de nouvelles, le jeu en ligne, le réseautage social et le visionnement de vidéos en ligne.
Une autre étude, réalisée en 2007, révélait que le travailleur américain moyen consacrait 20% de son temps à la navigation personnelle. En 2007, selon l'Ordre des CHRA et CRIA, 37% des Québécois utilisaient Internet à des fins personnelles au bureau.
L'année dernière, un employé de la Ville de Beloeil a été congédié parce qu'il utilisait excessivement son accès Internet professionnel à des fins personnelles. En 2007, la Ville de Québec a pris des mesures contre une quinzaine de ses employés pour des reproches similaires.
Plus de détails sur l'étude de l'Université de Melbourne sont disponibles en ligne
Wednesday, April 1
Parcours du 25e Tour de l'île
Les origines du 9 à 5
- tiré de Jobboom par Jean-Sébastien Marsan
Pendant des millénaires, nos ancêtres ont vécu au rythme des saisons grâce à la chasse, la pêche, la cueillette et l'agriculture. La Révolution industrielle du milieu du XIXe siècle a imposé jusqu'à 16 heures de travail quotidien en manufacture. Au début de la décennie 1870, des syndicats ontariens et québécois ont créé la Ligue des neuf heures de travail par jour. Au même moment, aux États-Unis, le mouvement ouvrier revendiquait «huit heures de travail, huit heures de repos, huit heures pour notre bon plaisir»!
Mais ces revendications n’ont pas réussi à écourter les horaires de travail. Il faudra attendre les années 1950 pour que les syndicats québécois et canadiens réclament la semaine de 40 heures, cette fois avec succès. C’est la syndicalisation de la fonction publique canadienne et québécoise, amorcée après la Deuxième Guerre mondiale, qui a généralisé l’horaire de bureau typique, de 9 h à 17 h.
Ailleurs dans le monde, le portrait est différent. Dans beaucoup de pays où le soleil tape dur, les travailleurs s’accordent de longs repas et font la sieste entre 11 h et 15 h. En Espagne par exemple, les travailleurs se lèvent tôt et interrompent souvent leur matinée pour avaler un second déjeuner; leur repas du midi débute à 14 h ou 15 h et peut s’étirer sur deux heures; leur journée de travail se termine vers 19 h ou 20 h.
En décembre dernier, le gouvernement espagnol a commencé l’étude d’un livre blanc sur la rationalisation des horaires espagnols et leur alignement sur ceux des autres pays de l’Union européenne. Autrement dit, s’aligner sur le 9 à 5.
Pendant des millénaires, nos ancêtres ont vécu au rythme des saisons grâce à la chasse, la pêche, la cueillette et l'agriculture. La Révolution industrielle du milieu du XIXe siècle a imposé jusqu'à 16 heures de travail quotidien en manufacture. Au début de la décennie 1870, des syndicats ontariens et québécois ont créé la Ligue des neuf heures de travail par jour. Au même moment, aux États-Unis, le mouvement ouvrier revendiquait «huit heures de travail, huit heures de repos, huit heures pour notre bon plaisir»!
Mais ces revendications n’ont pas réussi à écourter les horaires de travail. Il faudra attendre les années 1950 pour que les syndicats québécois et canadiens réclament la semaine de 40 heures, cette fois avec succès. C’est la syndicalisation de la fonction publique canadienne et québécoise, amorcée après la Deuxième Guerre mondiale, qui a généralisé l’horaire de bureau typique, de 9 h à 17 h.
Ailleurs dans le monde, le portrait est différent. Dans beaucoup de pays où le soleil tape dur, les travailleurs s’accordent de longs repas et font la sieste entre 11 h et 15 h. En Espagne par exemple, les travailleurs se lèvent tôt et interrompent souvent leur matinée pour avaler un second déjeuner; leur repas du midi débute à 14 h ou 15 h et peut s’étirer sur deux heures; leur journée de travail se termine vers 19 h ou 20 h.
En décembre dernier, le gouvernement espagnol a commencé l’étude d’un livre blanc sur la rationalisation des horaires espagnols et leur alignement sur ceux des autres pays de l’Union européenne. Autrement dit, s’aligner sur le 9 à 5.
Subscribe to:
Posts (Atom)