Monday, December 22

Inscrit au Tour de l'Île 2009


Je faisais une visite de routine sur le site de Vélo-Québec et une surprise m'attendait... un rabais de plus de 25% sur l'inscription au 25e Tour de l'Île 2009 soit seulement 15$.

Voilà, je suis inscrit au Tour de l'Île 2009 qui aura lieu dimanche le 7 juin 2009, le jour de mon 29e anniversaire de naissance!

Thursday, December 18

Monday, December 15

Confronter le changement en quatre étapes

tiré de AskMen.com

Change can modify, alter, amend, even shatter, but it always transforms. Few of us like it and even fewer thrive on it. There may have been a time some decades ago when a man was forced to confront changes by the mere handful. Today, however, he may face dozens.

Some common examples of change include:

* Moving away from a place you’ve called home.
* Changing careers.
* Ending a meaningful relationship.
* Dealing with physical changes, such as weight gain, hair loss, injuries, and more.

Here we’re presenting four steps to help you learn to confront change, because the sooner you learn how to do it, the more successful you will be in your professional and personal life.

step 1

Accept the change

Yes, acceptance is typically the last phase of a difficult process, not the first, but this is a cornerstone when you must confront change. Defiance or denial only delays the inevitable. The issue is, of course, how you go about reaching that acceptance.

Chiefly, don't try to soften the potentially tremendous personal impact of this change by carrying over too many elements from the phase you are leaving. By the same token, you should maintain some of the same routines and make a point to see the people whom you are used to seeing. Keep in mind that while you confront change and undo some old habits, you don’t have to abandon everything you once knew.

In short, regard this acceptance as a transitional process that will ebb and flow organically so long as you allow it to do so.

step 2

Set up and incorporate a stress management plan

It is universally understood that change is thorny and brings with it a host of difficulties. You know that it’s stressful when you confront change, so take a decidedly proactive approach and set aside some time to develop tactics for dealing with it before it arrives.

Stress management plans usually begin with a look at how you have typically coped with stress in the past, and the answers might alarm you. Harmful coping mechanisms include self-medicating with alcohol or drugs, smoking, over-sleeping, or putting things off as long as possible. These are all disastrous stopgap measures that only compound the stress that will slam you at a later time.

When you’re devising a stress management plan to confront change, you might set aside time to learn relaxation techniques or get more physical activity and shift toward a more healthy diet. Really, the better you feel overall, the lesser the impact that stress will have.

step 3

Identify the positives

This may require some creative interpretation or a dose of positive thinking, but look around for some things that, as a consequence of change, can be improvements over your current situation -- or at least regarded in that way. For example, losing your hair is undoubtedly a traumatic and depressing change to endure, but there are potential bright spots (besides the beaming reflection off the top of your head), such as shaving your head and doing away with hair products and visits to the barbershop. Then you can take some enjoyable, ceremonial steps toward those improvements, like buying a pair of clippers and a cool hat. Another example would be to take up gardening if you’re moving and your new place has a yard.

If necessary, look back to previous changes that you survived to further inspire you.

step 4

Start implementing the necessary changes

Since putting our advice on how to confront change into action, you’ve come to terms with the change by accepting it, put forth some plans to manage the inevitable stress you’ll endure, and sought out some positive things that may come out of this change. In short, you have reduced a major change into a less intimidating set of smaller changes.

At this point, you have nothing left to do but start implementing those changes. Don't just wait for the change to befall you; whether it’s paperwork, things to throw away, decisions to make or adaptations to absorb, dive into it. Don’t take the passive route that says, “I’ll deal with that when the time comes”; that route will make you vulnerable to heaps of stress and unhappiness later.

Keep in mind that change is a process that is rarely overcome in an instant. Time can be your ally in confronting change, but only if you allow it to be.

Saturday, December 13

Garder son job : la sécurité par l’insécurité

La règle de survie numéro un de l’employé modèle est de se comporter en travailleur autonome.

tiré de l'Actualité.com du 5 décembre 2008

Cela fait 22 ans que je travaille à mon compte. J’ai survécu à deux récessions et à trois krachs boursiers. J’ai même écrit un guide pour travailleurs autonomes. Mais c’est la première fois que je vois tant de conseillers à l’emploi insister sur le fait que les employés doivent apprivoiser l’insécurité pour être en sécurité !

Prenez les propos d’un important consultant en ressources humaines, Ian Kaiser, associé principal du bureau montréalais de Knightsbridge, selon qui vous devez traiter votre employeur comme votre meilleur client. « Assurez-vous de bien comprendre ses besoins et ses priorités, dit-il. Concentrez-vous sur ce qui compte pour votre superviseur, et non pour vous. » Dépassez les attentes ; suivez des formations ; soyez polyvalent ; ayez plusieurs casquettes !

Bref, la règle de survie numéro un de l’employé modèle est de se comporter en travailleur autonome. Voici donc le paradoxe des paradoxes pour les 80 % de la population qui ne jouit d’aucune sécurité d’emploi : la sécurité par l’insécurité !

Si vous butez sur les idées d’Ian Kaiser, rassurez-vous : vous recevrez une aide inespérée de la démographie. Car la pénurie de main-d’œuvre causée par le ralentissement des naissances dans les années 1980 complique le recrutement des entreprises, qui hésitent désormais à faire des licenciements conjoncturels, de crainte d’avoir du mal à trouver du personnel qualifié par la suite. Donc, avant de vous congédier bêtement, comme cela se faisait avant, votre patron vous cherchera d’abord un nouvel emploi à l’interne... où vous aurez encore l’occasion de mettre en pratique les principes d’Ian Kaiser !

Le pire, c’est que tous vos efforts ne sont une garantie de rien : l’entreprise qui vous embauche peut sombrer par la faute de ses cadres, de ses fournisseurs ou de ses clients. Mais les conseillers à l’emploi sont d’accord sur un point : vous êtes presque certain de vous recaser si 75 % de vos compétences sont transférables et peuvent servir à autre chose qu’à la tâche que vous aviez dans l’entreprise qui vous embauchait. Encore là, cette question de la transférabilité est une autre obsession du travailleur autonome, qui ne veut pas être captif d’un seul client!

Fixie Life

Friday, December 12

Belle découverte

Reprise de David Bowie...
Artiste: Lucien Midnight...
Chanson: Major Tom
Découverte dans un épisode balado-diffusion de Bande à Part...
Fermez les yeux...



Bon, la vidéo semble avoir été retiré pour violation de droits d'auteur. Voici l'original de David Bowie:

Le Finder en 3D


tiré de MacBidouille

Un nouveau brevet déposé par Apple laisse entrevoir ce qui pourrait être l'avenir de l'interface utilisateur de Mac OS X.

Ce Finder serait présenté en 3D avec un agencement des fenêtre, fichiers et dock qui se ferait aussi en profondeur.

Ceci n'est pas sans nous rappeler un projet développé en 2002 par MacWarriors et portant le nom de 3DOSX.

Il s'agissait déjà de naviguer dans la hiérarchie du disque dur en 3D.
On ignore si ce projet de Finder 3D sera réalisé en vision subjective ou utilisera réellement une technologie 3D pour proposer un réel relief. Après tout, c'est l'avenir qui semble se profiler à moyen terme.

Wednesday, December 10

Article sur Xtranormal

Publié par Carine Salvi le vendredi 5 décembre 2008 à 15H58

La jeune entreprise montréalaise Xtranormal pourra-t-elle un jour jouer dans la cour des Google, Facebook et autres jeunes pousses de la Silicon Valley devenues grandes?

En tout cas, c'est ce que croient les fonds de capital de risque qui l'ont financée à hauteur de 14 millions $ pour démarrer ses projets.

Fondée en 2006 et également financée par l'homme d'affaires Richard Szalwinski, qui a aussi démarré Softimage, Xtranormal s'appuie sur le principe qu'on n'est pas obligé de s'appeler Steven Spielberg pour faire un film, mais le pousse encore plus loin: on n'a pas besoin non plus d'avoir une caméra.

Par contre, on doit posséder un ordinateur et imaginer une histoire. Le reste, Xtranormal s'en charge en fournissant les personnages et les décors.

Sur xtranormal.com, il suffit d'écrire les dialogues, de choisir ses personnages et en un tour de main on obtient une courte animation.

«Le but est de faire un film en quelques clics. On sait qu'il y a cependant des compromis à faire, par exemple au niveau de la narration» très saccadée et d'un ton monocorde, raconte le développeur principal, Richard Gratton.

Ça ne semble pas trop déranger les internautes. Déjà, 20 000 membres se sont inscrits sur le site web lancé discrètement en version bêta le 6 octobre dernier.

Un de ces utilisateurs est John Stokes, l'associé principal de Démarrage Montréal qui finance de jeunes entreprises en technologie.

Xtranormal n'a par contre jamais frappé à sa porte parce que sa ronde de financement était déjà terminée lorsque Démarrage Montréal a vu le jour.

Selon l'avis de John Stokes, «Xtranormal a trouvé une façon tout à fait nouvelle et novatrice de raconter une histoire et en plus sa technologie est très bonne».

Xtranormal est aussi derrière Mashface, un autre studio d'animation sur Internet pour monsieur et madame Tout-le-monde. Cette fois, on appose des lèvres qui bougent sur des photos de personnalités connues ou pas. Un peu à la manière des Têtes à Claques.

Pour développer ses idées, Xtranormal a bénéficié de capitaux de risque de la Banque de Développement du Canada, la firme torontoise Brightspark ainsi que de Fair Haven de Boston.

Par contre, au lieu de prendre l'énorme somme recueillie pour développer un seul produit, la compagnie s'est éparpillée dans plusieurs projets pendant que les fonds s'épuisaient.

Il y a deux semaines, elle a dû se rendre à l'évidence et laisser tomber un projet à l'étape de la recherche. Du coup, elle a licencié 37 personnes, soit près de la moitié de ses employés.

«On s'est rendu compte qu'il fallait commencer par faire de l'argent avant de se lancer dans la recherche», explique M. Gratton. Avec la situation économique difficile, il ajoute qu'il aurait été très difficile de trouver du nouveau financement.

D'autres entreprises technologiques en démarrage de Montréal, comme Praized qui a développé un engin de recherche locale, Akoha, un jeu social, ou Standout Jobs, une plateforme de recrutement, n'ont pas réussi à monétiser leur travail, pourtant salué par l'industrie.

«Aucune de ces compagnies n'a encore réussi à prouver qu'elle a un plan d'affaires viable», commente M. Stokes.

Cela ne veut pas dire qu'elles sont vouées à l'échec, rectifie-t-il, seulement qu'elles doivent mettre plus d'énergie sur la commercialisation.

Xtranormal a appris la leçon à la dure. Dorénavant, elle laisse de côté l'Internet et se concentre sur un logiciel d'animation qui comprendra plus d'options que la version gratuite en ligne, comme la possibilité de déplacer les personnages et d'ajouter des dialogues préenregistrés.

La compagnie veut lancer son produit au printemps prochain et le vendre pour moins de 400$ aux institutions scolaires, aux écoles de langue ou aux entreprises qui voudraient rajouter des vidéos dans leurs documents de présentation par exemple.

Le diagnostic du grand patron de Démarrage Montréal est somme toute positif.

Lorsqu'il a fabriqué un petit film sur Xtranormal.com cette semaine pour une présentation, John Stokes aurait été prêt à payer Xtranormal pour que le film dure plus longtemps que les deux minutes réglementaires et qu'il n'affiche pas le logo de Xtranormal à la fin.

«Je crois que Xtranormal arrivera à être rentable», conclut M. Stokes.

Tuesday, December 9

Motivation

tiré du bulletin Énergie Cardio

"Plus vous savez célébrer et apprécier votre vie,
plus il y a de choses à célébrer dans la vie." - Oprah Winfrey


Une partie non négligeable de la motivation, pour quelque sujet que ce soit consiste à trouver systématiquement le temps et les moyens de célébrer! Même si vous n’avez pas de témoins ou d’entraîneur qui vous félicite lors de réussites ponctuelles ou d’étapes, je vous recommande de planifier certaines célébrations.

Qu’il s’agisse d’un souper au restaurant le premier week-end suivant votre première semaine d’entraînement assidu, d’un nouveau survêtement sportif longtemps convoité ou d’un massage dans le spa de votre choix, l’effet sur votre motivation sera fort bénéfique. L’effet, encore une fois, sur notre subconscient n’est certainement pas à négliger. Le fait d’associer un puissant sentiment de victoire à aller au gym ne pourra que stimuler davantage votre esprit à mener votre corps à la prochaine étape, et à la suivante, et ainsi de suite. Je vous propose d’établir d’avance – si vous débutez votre démarche surtout – les endroits dans votre cycle où vous serez en droit de célébrer et de vous récompenser. Par exemple, telles que mentionnées précédemment, une première célébration (rituel) :

* à la suite de la première semaine complète de votre engagement;
* suite à la première série de 4 semaines consécutives complètes;
* à la première étape atteinte – habituellement enregistrée aux 3 mois;
* à l’atteinte d’un de vos objectifs, etc

Il n’en tient qu’à vous d’être créatif pour ce qui est de la récompense à vous offrir. Mais celle-ci peut être simple et ne rien coûter. L’important, c’est de l’associer à votre réussite et de la savourer en y pensant. Le reste se fera tout seul.

Tuesday, December 2

Planifiez votre retour




tiré de Bicycling.com, By Kelly Bastone


There's no way to stop the years from ticking by, but you can do what Armstrong is trying to do: embark on an athletic renaissance no matter what your age. "We're seeing endurance athletes stay competitive later in life," says Peter Park, Armstrong's personal trainer and the owner of Platinum Fitness, in Santa Barbara, California. Case in point: 38-year-old Constantina Tomescu-Dita, the Romanian who won the women's marathon in Beijing.

Advancing age often brings increased family and work duties, which can limit training. You may need to get creative about your schedule, waking early to hit the gym or using Saturdays for one of your longer rides (Park suggests two per week). And you'll need patience. Going too hard too soon can actually inhibit your progress.

But athletes often feel fresher and more motivated after a break, Park says. And with improved training techniques and experience earned over years of cycling, the results often defy age-related assumptions. "These days, older athletes believe they can still win--and they do," Park says. Here's how to get back in the game after age 35.

Take two for recovery Twentysomethings bounce right back from intense workouts, but after 35, athletes need two days--occasionally three--to recover after going hard. That's because levels of testosterone and human growth hormone--which increase protein synthesis for new muscle cells--drop by as much as 50 percent. Compensate by doubling your recovery time, and monitor your strength once you resume workouts. If you feel weak during your next hard push, insufficient recovery may be the culprit.

Embrace resistance


Let nature take its course, and you'll lose about 5 percent of your muscle mass every decade. But athletes can maintain strength and power by adding resistance training to their routine. Yoga, Pilates and weight-lifting are all
useful; for Armstrong, Park's program keeps upper-body bulk to a minimum, but strengthens hips, glutes and legs with kettlebell exercises and plyometrics. Park's favorites: planks (holding your body in a modified push-up position) for core strength, Bulgarian split squats (with one foot resting on a bench behind you) for glutes and quads, and kettlebell swings (bending low with a weight held between your legs and thrusting it forward using the pelvis) for glutes and hips. Do two days of full-body resistance training per week on the days you ride hardest. "That way, you can use one rest session to recover from both workouts," Park says.

Think quality, not quantity


At 40, you can ride just as hard as when you were younger--you just can't do it as often. In fact, building intensity into your regimen is key to attaining high-end fitness, which athletes over 35 can lose unless they regularly redline it. Do one interval workout (hitting 80 to 95 percent of your max heart rate) per week.

Stretch for speed


Flexibility suffers as you age, and tightness in your hips, hamstrings, and lower back slows you down. Stay limber with stretching or yoga, which creates the flexibility required to get low in the saddle. Loose hamstrings let you raise your saddle height for more powerful pedal strokes. Park recommends goblet squats: Stand with your feet slightly wider than your hips, holding a dumbbell or medicine ball close to your chest, and squat to the floor, resting your elbows on your inner knees to urge them outward.

Watch your weight


Older athletes have slower metabolisms, which reduce calorie requirements. Weight gain compromises your VO2 max, which for sedentary people over 25 can decrease as much as 10 percent per decade, Park says. Keep your weight down and you can trim that decline to more like 3 percent.

Smart recovery eating is still critical to pursuing peak fitness. Park recommends consuming a 4-to-1 ratio of carbohydrates to protein after hard workouts: fruit, whole grains, lean meat and poultry. And don't delay. You derive the best recovery benefit when you refuel within 30 minutes of unclipping.

Opt for antioxidants


Because antioxidants combat the muscle-munching free radicals produced during tough workouts, they're good for all cyclists. But Park says older athletes in particular benefit from a diet rich in antioxidants, because they improve recovery. Eat at least five daily servings of colorful fruits and vegetables for the widest array of antioxidants, or take a supplement.

Monday, December 1

Tel père, tel fils...

Soyez réceptif

tiré du Journal Métro, chronique Au boulot! avec Alain Samson

À plusieurs reprises dans cette chronique, je vous ai parlé de l’importance d’avoir des objectifs clairs dans chacune des sphères de votre vie. La personne qui n’a pas d’objectif est à la merci des gens qui l’entourent. Elle est comme un bouchon de liège à la surface de l’eau. Sans destination précise, elle risque de se retrouver n’importe où.

Profitons aujourd’hui de cette chronique pour aller un peu plus loin. Je débuterai avec une affirmation que vous recevrez peut-être avec incrédulité : vous baignez dans la chance. Il y a autour de vous des gens qui pourraient vous aider à réaliser vos rêves. Il y a autour de vous l’information qui vous manque pour lancer votre projet. Tout cela vous entoure, mais il est possible que, trop concentré sur vos problèmes immédiats, vous ne soyez pas à l’écoute.

Voici un exemple : vous êtes pressé d’aller déposer votre enfant au CPE ce matin. Tellement pressé en fait que vous n’apercevez pas ce parent, également célibataire, que vous croisez en entrant. Cette personne aurait peut-être pu devenir l’amour de votre vie. Un seul petit sourire aurait peut-être suffi, ce matin, pour que vous ayez hâte de vous recroiser demain.

Apprenez à vous détendre

Ce genre de chose vous arrive constamment et pourrait affecter tous les aspects de votre vie. En fait, votre cerveau est comme un récepteur radio. Faites en sorte qu’il ne capte pas uniquement la fréquence liée aux tâches immédiates, mais également ce qui pourrait contribuer à la réalisation de vos rêves.

Pour cela, apprenez à vous détendre. L’anxiété vous amène à vous sur-concentrer sur la tâche en cours, de sorte que vous cessez de percevoir ce qui vous entoure.

Soyez ouvert

Ne cantonnez pas non plus les gens dans leurs rôles officiels. La personne que vous rencontrez n’a peut-être pas le profil d’un client, mais savez-vous qui elle connaît? Expliquez-lui quand même ce que vous faites dans la vie.

Et finalement, soyez ouvert. Partagez vos rêves. Dites ce qui vous manque actuellement comme information ou comme contact. En misant sur votre réseau, vous trouverez ce dont vous avez besoin.

Vous pouvez appréhender le monde de plusieurs manières. Vous pouvez, le matin, penser à tout ce que vous devrez faire pendant la journée et vous dire que celle-ci sera longue. Ou vous pouvez aborder la journée avec un beau : «Me revoici, univers. Voyons ce que tu as en réserve pour moi aujourd’hui!»