Je faisais une visite de routine sur le site de Vélo-Québec et une surprise m'attendait... un rabais de plus de 25% sur l'inscription au 25e Tour de l'Île 2009 soit seulement 15$.
Voilà, je suis inscrit au Tour de l'Île 2009 qui aura lieu dimanche le 7 juin 2009, le jour de mon 29e anniversaire de naissance!
Change can modify, alter, amend, even shatter, but it always transforms. Few of us like it and even fewer thrive on it. There may have been a time some decades ago when a man was forced to confront changes by the mere handful. Today, however, he may face dozens.
Some common examples of change include:
* Moving away from a place you’ve called home. * Changing careers. * Ending a meaningful relationship. * Dealing with physical changes, such as weight gain, hair loss, injuries, and more.
Here we’re presenting four steps to help you learn to confront change, because the sooner you learn how to do it, the more successful you will be in your professional and personal life.
step 1 Accept the change Yes, acceptance is typically the last phase of a difficult process, not the first, but this is a cornerstone when you must confront change. Defiance or denial only delays the inevitable. The issue is, of course, how you go about reaching that acceptance.
Chiefly, don't try to soften the potentially tremendous personal impact of this change by carrying over too many elements from the phase you are leaving. By the same token, you should maintain some of the same routines and make a point to see the people whom you are used to seeing. Keep in mind that while you confront change and undo some old habits, you don’t have to abandon everything you once knew.
In short, regard this acceptance as a transitional process that will ebb and flow organically so long as you allow it to do so. step 2
Set up and incorporate a stress management plan It is universally understood that change is thorny and brings with it a host of difficulties. You know that it’s stressful when you confront change, so take a decidedly proactive approach and set aside some time to develop tactics for dealing with it before it arrives.
Stress management plans usually begin with a look at how you have typically coped with stress in the past, and the answers might alarm you. Harmful coping mechanisms include self-medicating with alcohol or drugs, smoking, over-sleeping, or putting things off as long as possible. These are all disastrous stopgap measures that only compound the stress that will slam you at a later time.
When you’re devising a stress management plan to confront change, you might set aside time to learn relaxation techniques or get more physical activity and shift toward a more healthy diet. Really, the better you feel overall, the lesser the impact that stress will have.
step 3
Identify the positives This may require some creative interpretation or a dose of positive thinking, but look around for some things that, as a consequence of change, can be improvements over your current situation -- or at least regarded in that way. For example, losing your hair is undoubtedly a traumatic and depressing change to endure, but there are potential bright spots (besides the beaming reflection off the top of your head), such as shaving your head and doing away with hair products and visits to the barbershop. Then you can take some enjoyable, ceremonial steps toward those improvements, like buying a pair of clippers and a cool hat. Another example would be to take up gardening if you’re moving and your new place has a yard.
If necessary, look back to previous changes that you survived to further inspire you. step 4
Start implementing the necessary changes Since putting our advice on how to confront change into action, you’ve come to terms with the change by accepting it, put forth some plans to manage the inevitable stress you’ll endure, and sought out some positive things that may come out of this change. In short, you have reduced a major change into a less intimidating set of smaller changes.
At this point, you have nothing left to do but start implementing those changes. Don't just wait for the change to befall you; whether it’s paperwork, things to throw away, decisions to make or adaptations to absorb, dive into it. Don’t take the passive route that says, “I’ll deal with that when the time comes”; that route will make you vulnerable to heaps of stress and unhappiness later.
Keep in mind that change is a process that is rarely overcome in an instant. Time can be your ally in confronting change, but only if you allow it to be.
Cela fait 22 ans que je travaille à mon compte. J’ai survécu à deux récessions et à trois krachs boursiers. J’ai même écrit un guide pour travailleurs autonomes. Mais c’est la première fois que je vois tant de conseillers à l’emploi insister sur le fait que les employés doivent apprivoiser l’insécurité pour être en sécurité !
Prenez les propos d’un important consultant en ressources humaines, Ian Kaiser, associé principal du bureau montréalais de Knightsbridge, selon qui vous devez traiter votre employeur comme votre meilleur client. « Assurez-vous de bien comprendre ses besoins et ses priorités, dit-il. Concentrez-vous sur ce qui compte pour votre superviseur, et non pour vous. » Dépassez les attentes ; suivez des formations ; soyez polyvalent ; ayez plusieurs casquettes !
Bref, la règle de survie numéro un de l’employé modèle est de se comporter en travailleur autonome. Voici donc le paradoxe des paradoxes pour les 80 % de la population qui ne jouit d’aucune sécurité d’emploi : la sécurité par l’insécurité !
Si vous butez sur les idées d’Ian Kaiser, rassurez-vous : vous recevrez une aide inespérée de la démographie. Car la pénurie de main-d’œuvre causée par le ralentissement des naissances dans les années 1980 complique le recrutement des entreprises, qui hésitent désormais à faire des licenciements conjoncturels, de crainte d’avoir du mal à trouver du personnel qualifié par la suite. Donc, avant de vous congédier bêtement, comme cela se faisait avant, votre patron vous cherchera d’abord un nouvel emploi à l’interne... où vous aurez encore l’occasion de mettre en pratique les principes d’Ian Kaiser !
Le pire, c’est que tous vos efforts ne sont une garantie de rien : l’entreprise qui vous embauche peut sombrer par la faute de ses cadres, de ses fournisseurs ou de ses clients. Mais les conseillers à l’emploi sont d’accord sur un point : vous êtes presque certain de vous recaser si 75 % de vos compétences sont transférables et peuvent servir à autre chose qu’à la tâche que vous aviez dans l’entreprise qui vous embauchait. Encore là, cette question de la transférabilité est une autre obsession du travailleur autonome, qui ne veut pas être captif d’un seul client!
Reprise de David Bowie... Artiste: Lucien Midnight... Chanson: Major Tom Découverte dans un épisode balado-diffusion de Bande à Part... Fermez les yeux...
Bon, la vidéo semble avoir été retiré pour violation de droits d'auteur. Voici l'original de David Bowie:
Un nouveau brevet déposé par Apple laisse entrevoir ce qui pourrait être l'avenir de l'interface utilisateur de Mac OS X.
Ce Finder serait présenté en 3D avec un agencement des fenêtre, fichiers et dock qui se ferait aussi en profondeur.
Ceci n'est pas sans nous rappeler un projet développé en 2002 par MacWarriors et portant le nom de 3DOSX.
Il s'agissait déjà de naviguer dans la hiérarchie du disque dur en 3D. On ignore si ce projet de Finder 3D sera réalisé en vision subjective ou utilisera réellement une technologie 3D pour proposer un réel relief. Après tout, c'est l'avenir qui semble se profiler à moyen terme.
La jeune entreprise montréalaise Xtranormal pourra-t-elle un jour jouer dans la cour des Google, Facebook et autres jeunes pousses de la Silicon Valley devenues grandes?
En tout cas, c'est ce que croient les fonds de capital de risque qui l'ont financée à hauteur de 14 millions $ pour démarrer ses projets.
Fondée en 2006 et également financée par l'homme d'affaires Richard Szalwinski, qui a aussi démarré Softimage, Xtranormal s'appuie sur le principe qu'on n'est pas obligé de s'appeler Steven Spielberg pour faire un film, mais le pousse encore plus loin: on n'a pas besoin non plus d'avoir une caméra.
Par contre, on doit posséder un ordinateur et imaginer une histoire. Le reste, Xtranormal s'en charge en fournissant les personnages et les décors.
Sur xtranormal.com, il suffit d'écrire les dialogues, de choisir ses personnages et en un tour de main on obtient une courte animation.
«Le but est de faire un film en quelques clics. On sait qu'il y a cependant des compromis à faire, par exemple au niveau de la narration» très saccadée et d'un ton monocorde, raconte le développeur principal, Richard Gratton.
Ça ne semble pas trop déranger les internautes. Déjà, 20 000 membres se sont inscrits sur le site web lancé discrètement en version bêta le 6 octobre dernier.
Un de ces utilisateurs est John Stokes, l'associé principal de Démarrage Montréal qui finance de jeunes entreprises en technologie.
Xtranormal n'a par contre jamais frappé à sa porte parce que sa ronde de financement était déjà terminée lorsque Démarrage Montréal a vu le jour.
Selon l'avis de John Stokes, «Xtranormal a trouvé une façon tout à fait nouvelle et novatrice de raconter une histoire et en plus sa technologie est très bonne».
Xtranormal est aussi derrière Mashface, un autre studio d'animation sur Internet pour monsieur et madame Tout-le-monde. Cette fois, on appose des lèvres qui bougent sur des photos de personnalités connues ou pas. Un peu à la manière des Têtes à Claques.
Pour développer ses idées, Xtranormal a bénéficié de capitaux de risque de la Banque de Développement du Canada, la firme torontoise Brightspark ainsi que de Fair Haven de Boston.
Par contre, au lieu de prendre l'énorme somme recueillie pour développer un seul produit, la compagnie s'est éparpillée dans plusieurs projets pendant que les fonds s'épuisaient.
Il y a deux semaines, elle a dû se rendre à l'évidence et laisser tomber un projet à l'étape de la recherche. Du coup, elle a licencié 37 personnes, soit près de la moitié de ses employés.
«On s'est rendu compte qu'il fallait commencer par faire de l'argent avant de se lancer dans la recherche», explique M. Gratton. Avec la situation économique difficile, il ajoute qu'il aurait été très difficile de trouver du nouveau financement.
D'autres entreprises technologiques en démarrage de Montréal, comme Praized qui a développé un engin de recherche locale, Akoha, un jeu social, ou Standout Jobs, une plateforme de recrutement, n'ont pas réussi à monétiser leur travail, pourtant salué par l'industrie.
«Aucune de ces compagnies n'a encore réussi à prouver qu'elle a un plan d'affaires viable», commente M. Stokes.
Cela ne veut pas dire qu'elles sont vouées à l'échec, rectifie-t-il, seulement qu'elles doivent mettre plus d'énergie sur la commercialisation.
Xtranormal a appris la leçon à la dure. Dorénavant, elle laisse de côté l'Internet et se concentre sur un logiciel d'animation qui comprendra plus d'options que la version gratuite en ligne, comme la possibilité de déplacer les personnages et d'ajouter des dialogues préenregistrés.
La compagnie veut lancer son produit au printemps prochain et le vendre pour moins de 400$ aux institutions scolaires, aux écoles de langue ou aux entreprises qui voudraient rajouter des vidéos dans leurs documents de présentation par exemple.
Le diagnostic du grand patron de Démarrage Montréal est somme toute positif.
Lorsqu'il a fabriqué un petit film sur Xtranormal.com cette semaine pour une présentation, John Stokes aurait été prêt à payer Xtranormal pour que le film dure plus longtemps que les deux minutes réglementaires et qu'il n'affiche pas le logo de Xtranormal à la fin.
«Je crois que Xtranormal arrivera à être rentable», conclut M. Stokes.
"Plus vous savez célébrer et apprécier votre vie, plus il y a de choses à célébrer dans la vie." - Oprah Winfrey
Une partie non négligeable de la motivation, pour quelque sujet que ce soit consiste à trouver systématiquement le temps et les moyens de célébrer! Même si vous n’avez pas de témoins ou d’entraîneur qui vous félicite lors de réussites ponctuelles ou d’étapes, je vous recommande de planifier certaines célébrations.
Qu’il s’agisse d’un souper au restaurant le premier week-end suivant votre première semaine d’entraînement assidu, d’un nouveau survêtement sportif longtemps convoité ou d’un massage dans le spa de votre choix, l’effet sur votre motivation sera fort bénéfique. L’effet, encore une fois, sur notre subconscient n’est certainement pas à négliger. Le fait d’associer un puissant sentiment de victoire à aller au gym ne pourra que stimuler davantage votre esprit à mener votre corps à la prochaine étape, et à la suivante, et ainsi de suite. Je vous propose d’établir d’avance – si vous débutez votre démarche surtout – les endroits dans votre cycle où vous serez en droit de célébrer et de vous récompenser. Par exemple, telles que mentionnées précédemment, une première célébration (rituel) :
* à la suite de la première semaine complète de votre engagement; * suite à la première série de 4 semaines consécutives complètes; * à la première étape atteinte – habituellement enregistrée aux 3 mois; * à l’atteinte d’un de vos objectifs, etc
Il n’en tient qu’à vous d’être créatif pour ce qui est de la récompense à vous offrir. Mais celle-ci peut être simple et ne rien coûter. L’important, c’est de l’associer à votre réussite et de la savourer en y pensant. Le reste se fera tout seul.
There's no way to stop the years from ticking by, but you can do what Armstrong is trying to do: embark on an athletic renaissance no matter what your age. "We're seeing endurance athletes stay competitive later in life," says Peter Park, Armstrong's personal trainer and the owner of Platinum Fitness, in Santa Barbara, California. Case in point: 38-year-old Constantina Tomescu-Dita, the Romanian who won the women's marathon in Beijing.
Advancing age often brings increased family and work duties, which can limit training. You may need to get creative about your schedule, waking early to hit the gym or using Saturdays for one of your longer rides (Park suggests two per week). And you'll need patience. Going too hard too soon can actually inhibit your progress.
But athletes often feel fresher and more motivated after a break, Park says. And with improved training techniques and experience earned over years of cycling, the results often defy age-related assumptions. "These days, older athletes believe they can still win--and they do," Park says. Here's how to get back in the game after age 35.
Take two for recovery Twentysomethings bounce right back from intense workouts, but after 35, athletes need two days--occasionally three--to recover after going hard. That's because levels of testosterone and human growth hormone--which increase protein synthesis for new muscle cells--drop by as much as 50 percent. Compensate by doubling your recovery time, and monitor your strength once you resume workouts. If you feel weak during your next hard push, insufficient recovery may be the culprit. Embrace resistance
Let nature take its course, and you'll lose about 5 percent of your muscle mass every decade. But athletes can maintain strength and power by adding resistance training to their routine. Yoga, Pilates and weight-lifting are all useful; for Armstrong, Park's program keeps upper-body bulk to a minimum, but strengthens hips, glutes and legs with kettlebell exercises and plyometrics. Park's favorites: planks (holding your body in a modified push-up position) for core strength, Bulgarian split squats (with one foot resting on a bench behind you) for glutes and quads, and kettlebell swings (bending low with a weight held between your legs and thrusting it forward using the pelvis) for glutes and hips. Do two days of full-body resistance training per week on the days you ride hardest. "That way, you can use one rest session to recover from both workouts," Park says. Think quality, not quantity
At 40, you can ride just as hard as when you were younger--you just can't do it as often. In fact, building intensity into your regimen is key to attaining high-end fitness, which athletes over 35 can lose unless they regularly redline it. Do one interval workout (hitting 80 to 95 percent of your max heart rate) per week. Stretch for speed
Flexibility suffers as you age, and tightness in your hips, hamstrings, and lower back slows you down. Stay limber with stretching or yoga, which creates the flexibility required to get low in the saddle. Loose hamstrings let you raise your saddle height for more powerful pedal strokes. Park recommends goblet squats: Stand with your feet slightly wider than your hips, holding a dumbbell or medicine ball close to your chest, and squat to the floor, resting your elbows on your inner knees to urge them outward. Watch your weight
Older athletes have slower metabolisms, which reduce calorie requirements. Weight gain compromises your VO2 max, which for sedentary people over 25 can decrease as much as 10 percent per decade, Park says. Keep your weight down and you can trim that decline to more like 3 percent.
Smart recovery eating is still critical to pursuing peak fitness. Park recommends consuming a 4-to-1 ratio of carbohydrates to protein after hard workouts: fruit, whole grains, lean meat and poultry. And don't delay. You derive the best recovery benefit when you refuel within 30 minutes of unclipping. Opt for antioxidants
Because antioxidants combat the muscle-munching free radicals produced during tough workouts, they're good for all cyclists. But Park says older athletes in particular benefit from a diet rich in antioxidants, because they improve recovery. Eat at least five daily servings of colorful fruits and vegetables for the widest array of antioxidants, or take a supplement.
tiré du Journal Métro, chronique Au boulot! avec Alain Samson
À plusieurs reprises dans cette chronique, je vous ai parlé de l’importance d’avoir des objectifs clairs dans chacune des sphères de votre vie. La personne qui n’a pas d’objectif est à la merci des gens qui l’entourent. Elle est comme un bouchon de liège à la surface de l’eau. Sans destination précise, elle risque de se retrouver n’importe où.
Profitons aujourd’hui de cette chronique pour aller un peu plus loin. Je débuterai avec une affirmation que vous recevrez peut-être avec incrédulité : vous baignez dans la chance. Il y a autour de vous des gens qui pourraient vous aider à réaliser vos rêves. Il y a autour de vous l’information qui vous manque pour lancer votre projet. Tout cela vous entoure, mais il est possible que, trop concentré sur vos problèmes immédiats, vous ne soyez pas à l’écoute.
Voici un exemple : vous êtes pressé d’aller déposer votre enfant au CPE ce matin. Tellement pressé en fait que vous n’apercevez pas ce parent, également célibataire, que vous croisez en entrant. Cette personne aurait peut-être pu devenir l’amour de votre vie. Un seul petit sourire aurait peut-être suffi, ce matin, pour que vous ayez hâte de vous recroiser demain. Apprenez à vous détendre Ce genre de chose vous arrive constamment et pourrait affecter tous les aspects de votre vie. En fait, votre cerveau est comme un récepteur radio. Faites en sorte qu’il ne capte pas uniquement la fréquence liée aux tâches immédiates, mais également ce qui pourrait contribuer à la réalisation de vos rêves.
Pour cela, apprenez à vous détendre. L’anxiété vous amène à vous sur-concentrer sur la tâche en cours, de sorte que vous cessez de percevoir ce qui vous entoure. Soyez ouvert Ne cantonnez pas non plus les gens dans leurs rôles officiels. La personne que vous rencontrez n’a peut-être pas le profil d’un client, mais savez-vous qui elle connaît? Expliquez-lui quand même ce que vous faites dans la vie.
Et finalement, soyez ouvert. Partagez vos rêves. Dites ce qui vous manque actuellement comme information ou comme contact. En misant sur votre réseau, vous trouverez ce dont vous avez besoin.
Vous pouvez appréhender le monde de plusieurs manières. Vous pouvez, le matin, penser à tout ce que vous devrez faire pendant la journée et vous dire que celle-ci sera longue. Ou vous pouvez aborder la journée avec un beau : «Me revoici, univers. Voyons ce que tu as en réserve pour moi aujourd’hui!»
C’est difficile de rester en santé pendant la saison du rhume et de la grippe, mais quelques habitudes préventives peuvent vous aider à passer à travers cette saison sans tomber malade. Augmentez les défenses naturelles de votre enfant en lui apprenant ces trucs de préventions.
Faites-vous vacciner annuellement contre l'influenza Assurez-vous que les membres de votre famille reçoivent aussi leur vaccin antigrippal! Lavez-vous souvent les mains Un lavage de 20 secondes aide à éliminer les bactéries et les virus. N'oubliez pas de vous laver les mains avant et après les repas, après être allé à la toilette, après avoir toussé ou éternué et après avoir touché des surfaces que d`autres personnes auraient pu contaminer. Si vous toussez ou éternuez, couvrez-vous le nez et la bouche Utilisez un mouchoir ou bien levez votre bras à la hauteur de votre visage et servez-vous de votre manche comme protection. Si vous utilisez un mouchoir, jetez-le dès que possible et lavez-vous les mains immédiatement.
Gardez les surfaces communes propres Les poignées de porte, les interrupteurs, les téléphones, les claviers et autres surfaces peuvent être contaminés par toutes sortes de bactéries et de virus. Nettoyez et désinfectez régulièrement ces surfaces.
Si vous êtes malade, restez à la maison Si vous sortez alors que vous êtes malade, vous pouvez transmettre votre maladie à vos collègues, vos compagnons d`études, vos voisins ou d'autres personnes. Vous guérirez probablement plus lentement de l'influenza si vous n`êtes pas suffisamment reposé. Attendez que la fièvre soit passée et que votre toux s'améliore avant de sortir !
Faites connaître ces mesures à d'autres Assurez-vous que tout le monde dans votre foyer suit ces simples mesures. Si vous avez des enfants, donnez-leur le bon exemple. Apprenez-leur à compter jusqu'à 20 quand ils se lavent les mains et montrez-leur comment se couvrir la bouche et le nez quand ils toussent ou éternuent.
Vous avez sans doute lu le dossier intitulé «Se muscler le cerveau». Je poursuis dans la même voie avec les effets bien documentés de l'exercice sur le cerveau. Il y en a quelques-uns, à commencer par le plus connu de tous: l'agréable sensation de détente mentale et de relaxation musculaire qu'on ressent après une séance d'exercice. Cet effet est comparable à la prise d'un tranquillisant.
Les chercheurs ont aussi constaté que les personnes physiquement actives sont généralement plus détendues et résistent mieux à une situation stressante que les personnes sédentaires. En fait, leur organisme est habitué à l'hormone du stress, l'adrénaline, puisque celle-ci est abondamment sécrétée chaque fois que les muscles s'activent.
L'exercice agit aussi comme un psychotrope (médicament qui altère le fonctionnement du cerveau) en augmentant les taux de sérotonine et de dopamine dans le cerveau.
Ces neurotransmetteurs favorisent la détente et la bonne humeur, ce qui explique pourquoi l'exercice, de type aérobique il faut le préciser, combat la dépression, mais aussi le syndrome du trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité motrice. Par exemple, chez les jeunes athlètes souffrant de ce syndrome (ça arrive), plusieurs se passent de médication en période d'entraînement intensif.
Une autre étude a démontré une nette amélioration des symptômes chez des enfants hyperactifs qui ont suivi un programme d'exercice vigoureux pendant six semaines à raison de 50 minutes par jour. L'euphorie du marathonien
Le cerveau profite d'un effet narcotique (légal!) généré par les exercices d'endurance de plus de 60 minutes. Ceux-ci augmentent, par un facteur de cinq, la sécrétion d'endorphines, des hormones euphorisantes de la même famille que la morphine.
Plus de la moitié des coureurs de marathon expérimentent cette envolée mentale qui survient habituellement après la première heure de course. Il y a mieux.
L'exercice semble modifier la structure même du cerveau. L'étude la plus percutante à ce sujet a été publiée récemment dans The Journal of Gerontology.
Pour la première fois, des chercheurs ont regardé à l'intérieur du cerveau de 55 volontaires âgés de plus de 55 ans. À l'aide d'images tridimensionnelles à haute résolution obtenues par la résonance magnétique, ils ont découvert que l'exercice retarde l'atrophie du cerveau associée au vieillissement.
Les personnes actives physiquement avaient perdu moins de matière grise et blanche que les sédentaires.
La matière grise abrite les neurones, des cellules indispensables notamment à l'apprentissage et à la mémoire, tandis que la matière blanche se compare à un gigantesque réseau internet constitué de milliards de connexions (fibres nerveuses) qui transmettent les signaux émis par les neurones.
Un cerveau bien nourri
Une des hypothèses retenues par les chercheurs pour expliquer ces résultats concerne le taux de sucre dans le sang (glycémie). On sait qu'une glycémie élevée et non contrôlée, comme chez les personnes pré-diabétiques, réduit l'apport en glucose dans les cellules.
Or, le cerveau est un grand consommateur de glucose. S'il en est privé le moindrement, il peut s'ensuivre une perte de matière grise et blanche. L'exercice, au contraire, favorise le maintien d'une glycémie optimale, ce qui assure un apport régulier de glucose au tissu cérébral.
Une autre hypothèse concerne l'augmentation de la quantité de sang (plus de 25%) qui circule dans le cerveau pendant un exercice de type aérobique. Plus de sang au cerveau signifie plus d'oxygène et plus d'éléments nutritifs disponibles.
Montréal se définit comme un pilier nord-américain du divertissement interactif et du cinéma. Ce n'était qu'une question de temps avant que quelqu'un ne fasse le pont entre ces domaines et le web 2.0. Le résultat: Xtranormal, une start-up dont l'objectif est de rendre la production d'animations 3D accessible à tous, de la même façon que Youtube a simplifié la distribution de contenu vidéo. Pour en savoir plus Facebook | Mattel | Nike | YouTube | Web 2.0
La vidéo sur l'internet n'est plus un phénomène naissant. En Amérique du Nord, environ 115 millions d'internautes en visionnent régulièrement. Selon une analyse effectuée par la société eMarketer, pas moins de 80% des internautes sont, en réalité, de fidèles «webtéléspectateurs» (le terme est à inventer), puisqu'il regardent ou téléchargent du contenu vidéo au moins une fois par mois, tous genres confondus.Grâce à la prolifération de l'accès à large bande, les internautes sont un auditoire en croissance pour les productions vidéo. Grâce à la souplesse du numérique, ils sont également nombreux à réaliser eux-mêmes ce contenu vidéo. La preuve: le contenu créé par des professionnels de l'image ne compte que pour 6% de la production vidéo sur l'internet.
La réalisation pour les nuls
Le fondateur de Xtranormal, l'ancien dirigeant de Softimage et de Discreet Logic Richard Szalwinski, pense que cet énorme bassin de spectateurs et de producteurs amateurs apprécierait un outil simplifié de production et de partage d'animations 3D. «Xtranormal est un outil de réalisation de séquences vidéo qui ne demande aucune expertise technique», ajoute Jean-François Deschênes, directeur général de l'entreprise fondée en 2006. En fait, on n'a besoin d'aucun matériel, puisque les séquences vidéo sont des animations 3D créées de toutes pièces par une intelligence artificielle développée par Xtranormal.
L'internaute choisit parmi une quinzaine d'environnements, qu'il s'agisse d'un studio de télévision, d'un bar ou d'un vestiaire de gymnase, écrit un scénario sous forme de monologue ou de conversation, et s'il le désire, dirige les mouvements des personnages et les plans de caméra, en cliquant sur des icônes à l'écran. En quelques secondes à peine, les serveurs de Xtranormal transforment cette information en une animation 3D complète.
Tout cela est entièrement gratuit et se fait à partir d'une fenêtre de navigateur web. Les animations créées peuvent être partagées sur le site de Xtranormal ou ailleurs, sur YouTube ou Facebook. Un logiciel qui s'installe sur un micro-ordinateur est en développement pour le printemps prochain. Entre-temps, d'autres environnements de plus haute qualité seront mis en vente. Ceux-là seront vendus aux gens qui désirent réaliser des animations à des fins promotionnelles, éducatives ou autres.
La pointe de l'iceberg
M. Deschênes ne s'en cache pas: dans le contexte actuel, l'entreprise devra rentabiliser ses opérations rapidement. Xtranormal compte tirer profit de la visibilité obtenue depuis son lancement auprès des internautes et des blogueurs d'un peu partout dans le monde. «Nous avons actuellement plus de 6000 abonnés et il s'en ajoute 300 chaque jour, dit-il. Notre service est offert en 8 langues, mais on pourrait aller jusqu'à 45. On pense faire de l'insertion publicitaire dans les vidéos gratuites.»
Cette formule n'est que la pointe de l'iceberg, ajoute le directeur général, qui voit des occasions d'affaires du côté des entreprises. «On pourrait prendre contact avec de grandes marques qui cherchent à créer un univers virtuel. Par exemple, on peut créer des univers entiers aux couleurs d'une marque comme Nike.» Xtranormal travaille justement sur un tel projet avec Mattel, où des enfants sont invités à réaliser leur propre scénario d'animation mettant en vedette la fameuse poupée Barbie.
Jean-François Deschênes voit aussi du potentiel du côté de la formation continue et du télétravail. «Notre objectif est simple: démocratiser la réalisation de contenu vidéo», dit-il. Autrement dit, ce que le web 2.0 a fait pour tout le reste, Xtranormal compte le faire pour l'animation 3D.
Je suis un peu triste d'apprendre que la longue agonie de ce qu'a été, jadis, Radio-Shack, a franchi un nouveau pas aujourd'hui. Un lieu que j'ai fréquenté pendant mon secondaire, alors qu'un ami et moi, élaborions des devis techniques pour la régie de la télévision étudiante. Nous y trouvions tout le matériel nécessaire à nos caprices; factures en main pour nous faire rembourser par la direction! C'était le bon vieux temps :-)
Voici l'article en question qui a (presque) fait couler une larme sur ma joue:
Le distributeur américain de produits d'électronique grand public Circuit City a annoncé lundi que, face à l'effondrement de ses ventes, il allait fermer d'ici à la fin de l'année de 155 de ses 721 magasins, soit plus d'un cinquième de son parc. Pour en savoir plus Best Buy | Matériel et produits électroniques
Les opération de liquidation des magasins concernés débuteront dès cette semaine, a indiqué le groupe dans un communiqué.
«Depuis la fin septembre, des événements sans précédent intervenus sur les marchés financiers et de la consommation ont entraîné une forte détérioration des tendances macroéconomiques. Le climat affaibli a entraîné un ralentissement des dépenses de consommation», a justifié le directeur général James Marcum, cité dans le texte.
M. Marcum avait précédemment jugé «inacceptables» les performances de la société, marquées par une perte nette de 235,7 M$ US lors des trois mois achevés fin août et par une baisse des ventes de 13,3%.
Circuit City, principal rival au plan national du groupe Best Buy, dont le chiffre d'affaires est presque quatre fois plus important, a précisé que sa restructuration entraînerait également le licenciement d'environ 17% de ses salariés. Quelque 7800 postes devraient être ainsi supprimés.
La société va poursuivre les ventes dans 566 magasins, ainsi que sur son site internet.
L'annonce de ces fermeture de magasins intervient alors que le secteur de la distribution s'attend à une saison de Noël catastrophique. Habituellement, la profession réalise 22% de son chiffre d'affaires annuel pendant cette période.
La semaine dernière l'agence de notation Standard and Poor's avait tablé sur une baisse de 2% à 2,5% des ventes d'électronique de Noël par rapport à l'an dernier, en expliquant que «la vente des produits chers, comme les TV à écran plat et les ordinateurs portables devrait baisser (...) Les ventes d'appareils plus petits comme les téléphones portables et les jeux vidéos devraient mieux se porter, mais seront quand même sous pression», ajoutait-elle.
Le 24 octobre, l'opérateur de la Bourse de New York avait averti Circuit City qu'elle risquait de devoir quitter la cote d'ici six mois, la valeur de son titre étant resté inférieure à 1 dollar pendant trente jours d'affilée.
Le titre Circuit City a perdu quelque 96% de sa valeur en un an et sa capitalisation boursière était inférieure à 50 millions de dollars lundi.
L'action gagnait toutefois 11,15%, 0,29 $ US, lundi à l'ouverture de la Bourse de New York.
Au moment où vous lisez ces lignes, vous êtes peut-être assis dans le métro, en route vers le travail. Les pensées qui vous occupent peuvent être positives ou négatives. Cela dépend de ce que vous pensez qui vous attend aujourd’hui.
Le pire, c’est que ces pensées ont un impact sur votre humeur et peuvent effectivement déterminer votre journée. Si vous vous présentez au boulot en vous attendant à ce que ça aille mal, il est fort possible que votre attitude fasse en sorte que ça aille mal. Par exemple, celui qui se présente chez un client avec le sentiment qu’il ne fera pas sa vente ne mettra pas dans sa présentation l’énergie et l’enthousiasme nécessaires et, très souvent, la vente n’aura pas lieu.
Apprécier les autres
Vous souhaitez améliorer votre humeur et votre niveau d’attentes de début de journée? Il existe de multiples manières d’y arriver, mais je vais, ce matin, me concentrer sur l’une d’elles : trouvez des qualités aux gens qui vous entourent.
Ça peut avoir l’air bizarre comme ça, mais, si vous apprenez à apprécier davantage les gens avec qui vous travaillez, votre attitude à leur égard changera et, au fil du temps, votre relation s’en trouvera bonifiée. L’attachement mutuel grandira et, au bout d’un certain temps, vous aurez le sentiment de disposer d’un réseau qui vous soutiendra en cas de difficulté. Dès lors, vous ne verrez plus l’avenir de la même manière.
Vous n’aurez plus peur de vous lancer dans l’acquisition de nouveaux talents parce que vous saurez que vos premiers efforts, qui sont toujours caractérisés par quelques erreurs, ne seront pas vus négativement par vos collègues. C’est normal d’errer un peu quand on apprend.
Vous aurez envie de lancer des projets parce que vous aurez l’intime conviction qu’il y aura quelqu’un pour vous aider chemin faisant.
Vous aurez le sourire aux lèvres, tout en lisant votre journal Métro, parce que vous aurez hâte d’être au travail et de retrouver ces personnes qui bonifient votre vie. Même les jours où ça va mal à la maison, la simple pensée de vous retrouver avec votre gang fera grimper la jauge de votre énergie.
Apprenez à apprécier vos collègues aujourd’hui. Découvrez leurs talents cachés. Soyez à l’affût des bons coups qu’ils font. Voyez-les sous leur meilleur jour et développez avec eux des relations qui iront bien au-delà de la simple cohabitation au travail.
Allez! Faites un effort. Comme le disait Séguala : «La vie est trop courte pour travailler triste.»
Cyclists are pretty savvy about numbers, from weights to miles. But when it comes to keeping track of how many calories we eat and the sizes of our portions, most of us are way off.
Studies conducted at the Cornell University Food and Brand Lab in New York indicate that people generally underestimate a meal's calories by about 20 percent--even as much as 50 percent after a tough workout, which means athletes often consume twice as much as they think they do.
Ellen Coleman, R.D., a sports dietitian in Riverside, California, lays part of the blame on the American food industry, which has supersized just about everything: Today's 6-inch bagel contains 210 more calories than the 3-inch versions that were the norm 20 years ago. And a 2005 study published in the Journal of the American Medical Association (JAMA) found that people typically eat 92 percent of any food they serve themselves.
The problem is that as portion sizes creep up, so does our weight. Here are a few strategies for curbing those excessive portions before they slow you down. Add It Up Spend a week writing down everything you eat--it's the best way to evaluate what and how much you consume. It also lets you identify troublesome patterns: You may not realize how much snacking you do until you see it on paper. Says Coleman, "People are often surprised by what they see." Don't Overeat Healthy Foods Cyclists often think "healthy" foods are fine no matter the serving size. But cheese and nuts, though highly nutritious, are highly caloric, too. Pasta and bread portions are also worth watching. "Athletes think they can eat carbs with impunity," Coleman says. "But eating massive quantities of even low-fat foods can pile on the pounds." Vegetables are the exception: Eating lots of spinach, peppers and carrots won't spike your calorie count--as long as you don't drown them in fatty dressing. Eat Now, Before It's Too Late Never skip breakfast. Without it, your blood sugar plummets come afternoon, inducing a raging hunger that makes it hard to moderate portion sizes. The same thing happens when you head out for a ride after eating little throughout the day: "Recovery eating" becomes a pig-out. Eat early to avoid overindulging later.
Make Foods Look Bigger Portion out foods, even snacks such as pretzels. "You lose touch with what you're eating if your hand's disappearing into a bag," explains Coleman. Transfer snacks to a smaller baggie, and eat meals on small plates. The 2005 JAMA study also found that people ate 56 percent more when they served meals in large bowls, because big dishes make generous portions appear smaller. If you reduce your dish's real estate you can't inflate your portions.
Vous désirez continuer à progresser dans votre carrière et vous développer? Voici mon inventaire des qualités à privilégier.
Exercice de coach : Pour chacune, évaluez sur une échelle de 1 à 10 si vous possédez cette qualité. Réfléchissez à des exemples concrets où vous avez démontré cette qualité (c’est facile de se raconter des histoires). Si vous avez une évaluation inférieure à 7, songez à la façon de mettre en pratique ces qualités dès maintenant.
• Écoute active / Présence. Bien écouter l’autre afin de bien comprendre ce qu’il nous dit et, aussi, de bien saisir ce qu’il ressent. Être présent, bien là avec l’autre. Pas en train de penser ou s’affairer à autre chose (comme jouer avec son Blackberry).
• Initiative / Autonomie / Responsabilité / Fiabilité. Identifier et profiter des occasions d’amélioration dans son travail. Ne pas se contenter du statu quo. Faire preuve d’autonomie, prendre des décisions. Être responsable et fiable. Accepter des mandats et les mener à terme en respectant les échéances prévues.
• Organisation / Sens des priorités. Gérer son temps efficacement afin de respecter les échéances et savoir gérer les imprévus. Une personne organisée recevra davantage de nouvelles responsabilités ou projets, car l’employeur sait qu’elle saura les mener à terme. Savoir identifier ce qui est prioritaire et qui contribue le plus à l’atteinte des objectifs (qualité essentielle avec le volume de travail auquel vous êtes tous confrontés). Sachez ce sur quoi vous devez mettre l’accent aujourd’hui. Rester focusé sur ce qui est important.
• Travail d’équipe. Agir en fonction du bien-être de l’équipe et de la réalisation des objectifs de l’entreprise. Proposer son soutien aux autres. Le travail d’équipe est indispensable au succès d’une entreprise. Si vous convoitez un poste de gestion, c’est un must absolu!
• Respect. Respecter les autres, les différences, les diverses façons de faire. Respectez vos collègues et leur travail. Tous les membres d’une équipe (peu importe le niveau hiérarchique) contribuent au succès de l’entreprise.
• Intégrité / Honnêteté. Être honnête, faire preuve de droiture, vivre dans le respect de ses valeurs personnelles. L’employeur sera davantage porté à favoriser une personne intègre et honnête pour des mandats spéciaux et des promotions.
• Ouverture / Flexibilité. Être ouvert à des façons de faire différentes, à la différence des autres, aux changements. Le monde du travail est constamment en mouvement. Être ouvert à l’imprévu, aux nouveautés pour se démarquer. S’adapter facilement aux changements. Savoir accueillir ces changements comme des occasions de développement professionnel.
• Leadership. Savoir influencer positivement son environnement. Même si vous n’assumez pas un rôle formel de leader, exercez un leadership informel. Quand un changement se produit, soyez positif, ouvert, enthousiaste.
Alors, quel est votre constat? Préparez un plan d’action pour commencer dès maintenant à démontrer ces qualités afin de réussir sur le plan professionnel.
Il y a trois secrets à retenir à propos des Air Lousses. Je vous les présente aujourd’hui.
Le premier secret de la gestion des Air Lousses, c’est qu’il ne faut pas attendre d’avoir quelque chose à demander avant d’en accumuler. Les gens qui savent faire grandir leur influence n’attendent pas. Ils sèment sans compter en se disant que ça leur reviendra bien un jour. N’hésitez donc pas, dès aujourd’hui, à rendre service aux gens qui vous entourent. Soyez à l’affût de leurs besoins et allez au-devant de ceux-ci.
Le deuxième secret, c’est que les Air Lousses ne sont pas nécessairement encaissables auprès de la personne à qui vous avez rendu service. Si on vous perçoit comme une personne serviable, les gens auront envie de vous rendre la pareille même s’ils n’ont pas profité de vos largesses. Rendez service à une collègue aujourd’hui et, qui sait, c’est peut-être un autre collègue qui vous rendra la pareille demain.
Le troisième secret, c’est que les Air Lousses vous rapportent même si personne ne vous rend la pareille. On a en effet découvert que le simple fait de poser un geste altruiste suffit pour renforcer le système immunitaire. C’est comme si l’évolution avait décidé de nous récompenser quand nous rendons la vie plus facile aux gens qui nous entourent.
Que ferez-vous donc aujourd’hui? Allez-vous vous contenter de faire votre travail sans vous préoccuper des autres ou serez-vous aux aguets, prêt à rendre service? Je vous suggère commencer à accumuler des Air Lousses dès aujourd’hui.
Bon, c'est ma première vraie ride sur mon Tacx iMagic alors y'a le facteur adaptation. En plus du spinning d'hier que je ressens encore dans les jambes. Terminé les excuses... tout ça pour poster mon résultat sur mon blog:
J'adore les nouvelles pubs Livestrong mettant en vedette, Lance Armstrong. La première nous donne deux excellentes citations: Feed the Warrior 20 pounds et Kill the coward within:
La deuxième est aussi bonne; avec un vendeur, Brad, un peu las! Nice and flat dit Lance!
Boucherville... Montreal' suburb Nice grass, blinding Sun Blinded from mosquitoes My skin is an all-you-can-eat
...now, it itches
Avec cette BD, Google annonce la sortie prochaine de son propre navigateur web. J'ai trouvé que c'était une belle fleur au service d'assurance-qualité:
Malgré la pluie, j'ai pris quelques minutes pour croquer quelques images du Grand Tour. Toutes ces photos ont été prises à Saint-Georges-de-Beauce sur le terrain de la polyvalente.
Je me sentais bien stupide après que deux rayons en deux jours ont explosé de ma roue arrière. J'avais lu le carnet de route du Grand Tour avant le départ: "...amenez un rayon de rechange". Pfff, je n'ai jamais brisé de rayon, pourquoi ça m'arriverait tout d'un coup pendant la fin de semaine du Grand Tour? MURPHY!!! Voilà pourquoi c'est arrivé. J'avais tout le reste. J'ai crevé dans une montée: pas grave, j'avais une chambre à air, des cuillères et ma pompe à main. Mais les rayons, non!
Pour les newbies, si jamais un rayon explose, vous l'enlevez, le jeter à la poubelle, puis vous déserrez le frein arrière (petite manivelle pour les freins en C), vous desserez l'attache-rapide (quick release), puis vous placez votre roue du mieux que vous pouvez pour ne pas qu'elle frotte sur les plaquettes de frein (pcq il manque un rayon, votre roue devient voilée). Vous resserrez l'attache-rapide. Si vous êtes chanceux comme moi, le midi, vous vous arrêtez au village étape et allez tout de suite faire la file au camion-mécanique! Ils ont réalligné ma roue du mieux qu'ils pouvaient jusqu'au village où un vrai gros stand mécanique pouvait m'installer un nouveau rayon.
N'oubliez pas de réduire votre vitesse si vous roulez avec un rayon en moins, votre roue est voilée et ça serait bien de ne pas l'empirer. Bref, roulez le moins possible dessus.
Je me trouvais stupide d'avoir été à l'encontre du carnet de route qui demandait d'avoir des rayons de rechange... jusqu'à ce que je tombe sur un article de Denise Belzil, mécanicienne émérite:
"Pour dire la vérité, je n’amène jamais de rayons avec moi, surtout quand je voyage en Europe ou aux États-Unis. Je m’organise pour ne pas avoir de souci : mes vélos sont en bon état et les pneus sont neufs. Si un rayon se brise, je me débrouille pour me faire aider ou je trouve une boutique pour y faire réparer mon vélo."
Fiou! Moi qui avait peur d'avoir l'air con devant elle au stand mécanique quand j'ai dit qu'un rayon avait explosé et que je n'en avais pas de rechange.
Je me suis amusé à préparer une liste de lecture de chansons à écouter en se rendant à Tingwick, ville départ du Grand Tour 2008 (tour à vélo organisé par Vélo Québec).
Vendredi: Départ 7h50 de Boucherville par la Route Verte. 140 km plus loin, arrivé à Eastman. Bonne bouffe entre amis, puis on va chercher ma copine au terminus de Granby en fin de soirée.
Samedi: Arbre en arbre à Sutton. Relaxation en fin d'après-midi. On écoute la pluie et on regarde l'orage en soirée.
Dimanche: Départ 10h30 de Eastman. 140 km plus loin, arrivé à Boucherville. On se commande une bonne bouffe et on regarde l'arrivée du Tour de France à Paris au Canal Évasion.
Épuisant comme fin de semaine (surtout quand je suis en fin de gros rhume), mais ça valait le coût.
Du lac Memphrémagog à la Baie Missisquoi (Lac Champlain), ce parcours valloneux de 76 km chevauche le Québec et le Vermont. Finalement, on profite du meilleur des deux mondes: la familiarité de nos villages typiquement québécois et le charme indiscutable de la Nouvelle-Angleterre. Le tout en longeant la rivière Missisquoi et en se déplacant d'une étendue d'eau à l'autre.
Wow! Quel beau samedi. Fallait que j'en profite car on annonce du mauvais temps pour le restant de la fin de semaine de trois jours (fête de la Reine ou des Patriotes, dépendemment de vos convictions!).
Voici les données d'une rando relativement tranquille, mais avec quelques sprints. Après avoir changé la pile de ma ceinture capteur de HRM, j'ai remarqué que finalement mon cardio ne s'était pas amélioré tant que ça... Mmmm... faut surtout pas lâcher.
Première sortie au circuit Gilles-Villeneuve: de bonnes sensations quoiqu'un manque d'endurance. C'est à travailler, mais je sens que je démarre la saison à un niveau supérieur qu'à l'an dernier. Bon, faut pas trop se fier à la vitesse moyenne: je me suis perdu dans Griffintown en voulant sauver du temps, puis j'ai oublié d'enregistrer des tours (laps) pour cerner mes tours de piste.
Un été bien rempli au travail s'annonce. De beaux défis à relever en perspective. Je suis prêt à rester bien concentré durant mon quart de travail afin d'aider la compagnie à démarrer du bon pied. Un travail demandant beaucoup de dépassement de soi, d'user de mes connaissances déjà acquises et surtout, garder un haut niveau de concentration et de réflexion afin de bien organiser mon emploi du temps.
D'un autre côté, j'ai bien l'intention de profiter des beaux jours pour rouler en vélo et jogger. De saines habitudes pour garder le physique et le mental en santé. Premier rendez-vous dimanche à Ottawa avec le groupe Détour Nature. Puis, le traditionnel Tour de l'Île dimanche 1er juin. Durant les vacances d'été? Rien de déterminé pour le moment. À suivre...
Nouvel album de Portishead. Une belle surprise que je n'attendais pas! Ça me rappelle mes années au Cégep. Le groupe n'a rien changé de ses habitudes: musique planante et suicidaire à souhait. Un délice à l'oreille développée.
Une autre belle surprise en ce lundi matin... Trent Reznor nous pond un autre chef-d'oeuvre tout aussi gratuit à télécharger: The Slip.
Le jeu de mots de l’année va à mon nouveau vélo: Kona Sutra. Kona est un fabricant de vélo à la touche humoristique; que ce soit par le nom de leurs modèles ou par la couleur de ceux-ci.
Hier, installation d’un rack arrière au Yéti et achat de sacoches imperméables sur eBay.
✓ Tester freins à disques dans la pluie diluvienne ✓ Installation du support pour GPS Garmin Edge 305.
J’ai lu qu’une cause possible est l’âge du tabac. Quand le tabac n’est pas assez âgé, il peut rendre malade.
Par contre, j’ai aimé le goût au début. Avant de l’allumer, je l’ai senti et il avait un certain arôme subtil (raisin peut-être, j’en suis pas sûr). Puis, en l’allumant, j’ai été surpris que la fumé soit froide alors que j’avais en tête la chaleur et force des cigarillos et cigarettes même.
Malheureusement, peu après le milieu du cigare, je me suis senti faible, étourdi et mal au coeur. J’ai compris qu’il fallait que j’arrête, mais il était trop tard. Peu après, j’ai été malade.
Malgré tout, j’en conserve une expérience agréable et relaxante. Je serai en mesure de mieux juger le prochain.